mercredi 27 février 2008
mariage à l'ancienne
- Bonjour Monsieur, avez vous de l'aspirine?
- Oui, sans aucun doute.
- Avez-vous des anti-douleurs?
- Oui, aucun problème.
-Avez vous des antirhumatismaux?
-C'est certain que nous en avons..
-Avez-vous du Viagra?
-Oui, bien sûr.
- Avez-vous des pilules antirides?
-Oui, nous en avons.
- Avez-vous du gel pour les hémorroïdes?
- Évidemment.
- Avez-vous du bicarbonate?
- Certainement..
- Avez-vous des médicaments pour le foie?
- Bien sûr.
- Avez-vous des antidépresseurs?
- Oui, sans aucun doute.
- Avez-vous des somnifères?
- Oui, oui, nous en avons.
- Avez-vous des produits pour la mémoire?
- Oui... quelques-uns !
- Avez-vous des béquilles?
- Évidemment.
- Avez-vous des couches pour adultes?
- Mais certainement.
- Avez- vous ...
- Enfin, Madame...
nous sommes une pharmacie professionnelle.
Nous avons tous les produits.
Quel est votre problème ?
- Je dois épouser mon Léon, 95 ans, à la fin du mois.
Nous aimerions savoir si nous pouvons laisser notre liste de mariage chez vous...
vendredi 22 février 2008
vol 747 pour paris
Après avoir atteint son altitude de croisière, le Commandant s'adresse aux passagers via l'interphone :
- "Mesdames et Messieurs, c'est le Commandant de bord Henry Headson qui vous parle:
la météo est excellente et nous prévoyons un vol sans incident.
Nous devrions atterrir à l'Aéroport Charles de Gaulle à 8h35.
Après le film, je vous conseille de vous détendre et ... relax...
Oh non !!!
Mon Dieu !!!.........."
On entend un bruit sec et ... plus rien!!!!!!!!
Silence de mort dans l'avion!
........
Les passagers se regardent!....
............
Personne ne bouge!
..............
L'avion maintient pourtant son cap et son altitude, mais...
........ les hôtesses sourient nerveusement.......!!
Mauvais signe !.......
Après quelques minutes, le Commandant revient au micro :
- "Je tiens à m'excuser pour l'incident de tout à l'heure, mais on a renversé du café brûlant sur mon pantalon ! Vous devriez voir le devant de mon pantalon !"
- "Ce n'est rien", hurle un passager, Vous devriez voir l'arrière du mien...!!!"
Chasse à l'ours
petit ours brun qu'il tire. Il reçoit une tape sur
l'épaule et se retourne pour voir qui est derrière lui. Un gros ours noir
le regarde et lui dit:
- Tu as deux choix, ou je te bas à mort ou bien je te sodomise.
Didier choisit la vie.
Après deux semaines de réhabilitation, Didier veut sa revanche. Il va en
forêt, traque et tire enfin l'ours noir. On
lui tape encore sur l'épaule...Un énorme grizzly lui dit:
- Je pense que tu as fait un erreur. Il lui propose deux choix: ou l'ours
le bat à mort ou bien ils ont ensemble une
séance de sexe brutal. Didier choisit encore la vie...
Après 3 mois de convalescence, il veut sa revanche sur le grizzly. Rendu
dans le bois, il trouve enfin l'ours qu'il
tire. Il est satisfait quand quelqu'un lui tape encore sur l'épaule...
Cette fois c'est un ours polaire géant qui lui dit:
-Admet-le Didier, tu ne viens pas vraiment ici pour la chasse...
Souris marseillaises
d'un grenier qui discutent le bout de gras.
Et la modestie n'est pas leur vertu cardinale. La première affirme avec
insolence :
Vous savez les tapettes dans lesquelles on nous attire avec un morceau de
gruyère ? Eh bien moi j'ai réussi à en
soulever les mâchoires et a prendre le fromage !
La deuxième, pour ne pas être en reste enchaîne :
- Vous voyez les grains de blé empoisonnés qui traînent ça-et-là ? Eh bien
moi je les grignote comme des biscuits
à l'apéritif !
C'est alors que la troisième souris se lève et prend congé des deux autres
souris.
- Ou vas-tu ? lui demandent-elles inquiètes
- Je rentre. C'est l'heure d'enculer le chat.
mardi 19 février 2008
De la musique avec Windows 98 et XP
La video sur le JDG ici
lundi 18 février 2008
Clowneries
Le policier s'approche du véhicule...
- Permis de conduire et d'immatriculation,svp.
- Voici...
- Sortez de la voiture et ouvrez le coffre arrière...
C'est à ce moment là que le policier découvre plein de couteaux.
- Qu'est-ce que c'est que tous ces couteaux dans votre voiture ?
- Je suis jongleur dans un cirque. Ils me servent pour mon numéro.
- Ah oui? Voyons voir... Pouvez-vous faire un petite numéro?
Le jongleur s'empare de quelques couteaux et comme son spectacle. C'est à ce moment là que deux belges s'approchent dans une Lada.
- Waow Albert! Je suis bien content d'avoir arrêté de boire, tu vois les tests d'alcoolémie qu'ils obligent à faire maintenant… Jamais je n'y arriverais!
lundi 11 février 2008
vendredi 8 février 2008
mercredi 6 février 2008
Mamie au stade
- Madame, il y a des billets de 20 euros qui tombent de votre sac...
- Oh mon Dieu, dit la petite vieille, je vais retourner sur mes pas pour voir si je peux en trouver d'autres, merci de m'en avertir ! '
- Attendez un peu, comment avez-vous eu tout cet argent, l'avez-vous volé ?
- Oh non, dit la vieille, voyez-vous, à l'arrière de ma maison, c'est le stationnement du stade de football. Chaque fois qu'il y a un match, il y a plein de spectateurs qui viennent faire pipi dans les buissons, directement dans mes plate-bandes. Alors je me cache dans les buissons avec une cisaille et je dis : c'est 20 euros ou tu la perds !
- Hé, c'est pas une mauvaise idée, dit le policier en riant, d'accord, bonne chance! En passant, qu'est-ce que vous transportez dans l'autre sac ?
- Ben, dit la vieille, tous n'acceptent pas de payer
Compte Rendu du dernier Comité de direction
"- Bon, les gars, on déconne, on déconne, mais on s'éloigne des vrais problèmes. Qui veut un calva ? J'ai du 80 ans d'âge que je fais venir directement de la ferme. Une rareté.
- Qui a pris les cigares ? Jean-Eudes, faites pas le rat, renvoyez les havanes par ici.
- Messieurs ! Quand vous aurez fini de vous torcher, on en reviendra au sujet du jour. Où est Roger ?
- Aux toilettes, monsieur le président, il a du mal à digérer la purée de céleri.
- Bon, puisque notre directeur financier est malade, je vais moi-même rentrer dans le sujet. Peuf... Peuf... (il allume un cigare). Messieurs, comme je le disais, l'heure est grave. Merci pour le calva, Pierre-Henri. Les calculs faits par ma stagiaire cette nuit montrent que nous avons perdu entre 5 et 9 milliards par la faute de ces gros ploucs d'amerloques.
- Font chier, ces yankees. On ne peut plus faire confiance à personne !
- Silence, Charles-Edouard ! Il est trop tard pour nous lancer dans une analyse de risques approfondie. La question du jour est : qui va porter le chapeau ?
Silence général. Tout le monde se regarde bizarrement.
- Non, ne vous inquiétez pas, on n'en est pas encore à foutre des cadres dirigeants à la porte. Le plan social, on le fera sur les guichetiers, faut pas que déconner.
Non, mais sérieusement, faut trouver un clampin à faire dégager rapido. De préférence, un qu'aucun d'entre nous ne connaît, histoire de dire qu'on n'était pas au courant.
- Oui, monsieur le président, mais qui ?
- Je sais pas moi, je suis pas là pour tout faire, non plus. Y'a personne que vous voulez virer ? Un trou de balle, un minus, mais avec une bonne gueule de psychopathe, qu'on pourrait montrer à la télé en disant "tout est de sa faute" ?
- Oui, comme les anciens hébreux chargeaient un bouc de leurs péchés avant de l'envoyer dans le désert...
- Charles-Hubert, vous nous les pétez menu avec vos histoires de cureton. C'est pas parce que vous avez passé 15 ans chez les jèzes qu'il faut la ramener à chaque codir. La dernière fois, c'était Saint-Paul à Damas pour illustrer le moment où Bernanke a compris qu'il était dans la merde, et la prochaine fois, vous nous faites quoi ? Sodome et Gomorrhe ? Le Déluge ? Allez, on y va, on me donne un nom.
- Mais, président, on ne les connaît pas, les noms des collaborateurs. On leur parle à peine, et encore, seulement pour les engueuler.
- Bon, OK, je vois, c'est encore moi qui vais tout faire. Pierre-Matthieu, passez-moi votre portable. Le trombi de la boîte, il est où ?
- Ici, monsieur le président.
- Putain, ces tronches de tarés qu'ils ont ! Eh, aux RH, vous avez jamais pensé à donner des consignes, genre "éviter d'embaucher des demeurés" ? Bon, on va pas s'en sortir, je clique au hasard... Tiens, celui-là, Bernard Hurningh, vous en dites quoi ?
- Il est conseiller clientèle à Dôle, monsieur, personne ne croira jamais qu'on a perdu 5 milliards à cause de lui.
- Même en magouillant avec la Suisse ?
- C'est plus ce que c'était, monsieur, la Suisse. Le secret bancaire n'est même plus garanti, ils seraient foutus de nous prouver qu'on raconte des craques.
- Mouais, va falloir taper dans le lourd. Celui-là, Marc Brice, à votre avis ?
- Directeur financier d'une sous-filiale de spécialisée dans le prêt agricole, monsieur. C'est la bourse qui craque, pas le marché du purin.
- Faites le malin, Jean-Edouard, foutez-vous de ma gueule. Bon, celui-là, il a une vraie tronche de vainqueur. C'est mon dernier mot, vous vous sortez les doigts du cul et vous me le mouillez à mort.
Jean-Gui, en tant qu'ancien membre du cabinet de l'Elysée sous Mitterrand, les barbouzeries, ça vous connaît, non ?
- Oui, on peut magouiller un peu le système informatique, histoire de faire croire qu'il nous a truandés. Faites voir le nom ?
- Kerviel, Jérôme Kerviel. Encore un de ces petits merdeux qui croient qu'ils vont devenir riches parce qu'ils passent des ordres de bourse toute la journée sur leur écran.On dirait des hamsters sous acides, ces branleurs. Allez, celui-là paiera pour les autres.
- Mais, monsieur, 5 milliards sur le dos de ce trou de balle, personne n'y croira jamais !
- Je vous signale, mon petit Charles-Edouard, 80% des français se sont déplacés il y a un peu plus de six mois pour départager une dinde hystérique, et un velléitaire complexé par sa taille, alors vous savez, le sens critique de ces glandus... Bon, on y va. Plan média, bidonnage informatique, communiqué de presse, plan social en back up, je veux tout ça sur mon bureau demain matin. Et vous me supprimerez le coupon de cette année, ça fera les pieds à ces connards d'actionnaires. Quelqu'un reveut du champ' ?